Le Guide du Voyageur galactique

H2G2 #1

French language

Published Nov. 1, 1982 by Gallimard.

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4 stars (4 reviews)

Comment garder tout son flegme quand on apprend dans la même journée: que sa maison va être abattue dans la minute pour laisser place à une déviation d'autoroute; que la Terre va être détruite d'ici deux minutes, se trouvant, coïncidence malheureuse, sur le tracé d'une future voie express intergalactique; que son meilleur ami, certes délicieusement décalé, est en fait un astrostoppeur natif de Bételgeuse, et s'apprête à vous entraîner aux confins de la galaxie ? Pas de panique! Car Arthur Dent, un Anglais extraordinairement moyen, pourra compter sur le fabuleux Guide du voyageur galactique pour l'accompagner dans ses extraordinaires dérapages spatiaux moyennement contrôlés.

60 editions

Je doute voir l'adaptation ciné, ni lire les suites

3 stars

C'est une journée difficile pour Arthur Dent : d'abord parce qu'il sur le point d'être expulsé en raison d'une démolition programmée de sa maison, ensuite parce que la Terre est également programmée pour être démolie, et en fait, quelques secondes avant qu'elle ne soit effectivement détruite, il est arraché de la planète par un ami, qui est en fait un extraterrestre, dont le travail consistait à faire des recherches pour l'édition révisée du guide du voyageur galactique. Ils se lancent dans une aventure dans l'espace, qui se déroule avec humour et semble s'appuyer uniquement sur des situations chaotiques du début à la fin, dans cette comédie classique de science-fiction sans prétention.

Dans cette parodie d'aventure spatiale, les réponses aux mystères de l'évolution, des galaxies et de la vie sur terre sont données de manière irréaliste et exagérée, comme si l'auteur décidait d'utiliser la science et de la mélanger dans une …

Review of 'Guía del autoestopista galáctico' on 'Goodreads'

3 stars

No soy aficionado a las novelas de ciencia-ficción ni tampoco a las de humor especialmente, pero sentía curiosidad por este título desde hacía tiempo por su aura pop de culto y tenía ganas de comprobar cómo mezclaba ambos géneros.

En términos generales logra ser ágil y entretenido, aunque más al inicio y al final y menos por en medio, cuando se ocupa de ampliar los horizontes del universo narrativo (literalmente, recordemos que va de viajeros espaciales). Algo de esperar, en tanto que Douglas Adams era quizá guionista antes que literato y... ya se sabe lo que pasa con la sacrosanta norma de que el principio y el final enganchen y sorprendan.

Me gusta su manera muy personal y arriesgada de usar los deus ex machina (algo ajeno a la historia que aparece de repente y resuelve los problemas, ejemplo desde Aristóteles de lo que no hay que hacer) para insinuar …