Reviews and Comments

We are all completely beside ourselves tells the story of a peculiar family and their troubles seen through the eyes of the little sister Rosemary, telling us about her family, her brother that went away and her sister that suddenly disappeared, breaking the family in pieces.

Through her eyes and memories we go around time in a messy way, just like we remember ourselves. Bit by bit we uncover an unique family and every chapter brings another surprise. While at first the family looks quite dysfunctional, you begin to realise that the way they act and behave might be quite understandable.

I loved reading this book, every single person in it is quite unique in its own way and lovable.

From tech.lgbt/@michaeljoseph/109662500952142826

From bookstodon.thestorygraph.com/@lukesblog1/109647012224475431

From justaword.fr/le-sexe-et-la-science-fiction-df726b79fb89

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C'est parti pour le livre du mois de janvier du bookclub du travail!

Une histoire extrêmement prenante entre deux femmes prises dans le racisme de l'Amérique des années 20. J'ai eu du mal à comprendre tout le cheminement de pensée de la narratrice, mais j'ai littéralement dévoré les pages. La fin est profondément marquante, posant énormément de questions et laissant le lecteur dans l'interrogation.

Le propos du livre m’a pas mal attiré, travaillant depuis plusieurs années dans le milieu des start up et remettant en cause pas mal de fois le modèle et le fonctionnement de certaines.

Les premiers chapitres sont vraiment durs à passer, ils tiennent plus d’une longue rant extrêmement caricaturale et reposant sur fort peu d’arguments. Cependant le livre vaut la peine de passer outre ces quatre cinq premiers chapitres pour les suivants qui plongent dans les errements et égarements de l’écosystème start up ainsi que de ses parasites.

Il permet de réaliser l’état actuel de la bulle ainsi que l’éclatement en cours qui devait arriver.

Passé les deux premiers chapitres qui tiennent vraiment de la rant de boomer (et dur surplus de texte qui devrait clairement être en notes de bas de page), ça commence à devenir intéressant

Première rencontre avec Jack London pour moi! Un recueil de nouvelles bien ficelées dans l’ensemble (J’ai moins aimé la seconde), remplies de pas mal d’humour et de philosophie, dans l’Amerique de la ruée vers l’or, une période que je connais assez mal. J’ai vraiment apprécié la quasi totalité du recueil qui est écrit de manière très fluide et captivante, ça m’a donné envie de jeter un œil à d’autres livres de cet auteur!

Les garçons de l’amour est un long monologue adressé par un jeune homosexuel iranien à son amour perdu. Il nous fait découvrir leur histoire de leur rencontre à son exil en Europe, en passant par la révolution iranienne, la guerre en Irak et de multiples fuites tout en nous faisant rencontrer une galerie de personnages magnifiques. Ce récit est tout en douceur, extrêmement beau et m’a passablement bouleversé. Il fait comprendre le danger que la religion peut faire peser sur des amours illicites et les dangers du fanatisme. Il montre la bascule complète d’un pays vers le fanatisme aveugle et la violence qui l’accompagne. On le referme les larmes aux yeux, se demandant pourquoi un amour si pur entre deux êtres a pu provoquer autant de haine.

Très bonne découverte de la pensée de Hayek et de ce que je considère comme le libéralisme “noble” au delà du dévoiement du terme qui a lieu actuellement, une vraie philosophie orientée contre une société de rentes et un capitalisme de connivence. Une philosophie pour une égalité me des chances et un vrai objectif entrepreneurial. L’auteur fait ici un bon travail de restitution de la pensée hayekienne qui gagnerait à être mieux connue en francophonie. Quelques égarements cependant concernant les “méfaits d’Internet” qui sont au final peu étayés par des citations ou un travail propre à Hayek mais qui semblent plus sortir d’une interprétation subjective de l’auteur qu’autre chose.